Notre identité : une histoire française
Héritages de l’âge d’or de la gastronomie française, au début du XIXème siècle, les petits fours possèdent leur propre histoire.
Convivialité et partage, les buffets et les réceptions synonymes de communication se multiplièrent sous l’Empire. Napoléon Bonaparte, homme d’action, détestait le long rituel des dîners à table.
Depuis Antonin Carême, autant d’anciens maîtres qui, accompagnés de petites mains talentueuses, nous ont légué un savoir-faire exceptionnel.
Ils ont perfectionné la pâtisserie de « Petit-Four », celle qui se cuit à four doux. Tant et si bien que le nom est devenu un terme générique pour toutes les pâtisseries fines et délicates.
« Le sucre mêlé à divers ingrédients donne cette multitude de pâtisseries légères qui constituent l’art assez récent du pâtissier petit-fournier », commente Jean-Anthelme Brillat Savarin, en 1826.
Les petits fours se déclinent aussi bien en salé qu’en sucré. La frontière entre variétés salées et sucrées s’estompe, les champs d’investigation s’élargissent avec de nouvelles techniques. Il n’y a plus de limites à la créativité et à la qualité.
La Maison du Petit-Four s’inscrit dans « une démarche locavore » : elle s’évertue à utiliser les produits de la région tout en servant des clients de proximité.
« Le futur est plus beau lorsqu’il a un passé ! »